Sur quoi repose le confort thermique d’une maison ?
Les températures trop basses ou trop élevées dans la maison ne sont jamais agréables. Si l’effet de paroi froide peut avoir des conséquences sur l’organisme, une maison surchauffée entraîne aussi des désagréments. Pour limiter ces sensations d’inconfort, plusieurs solutions sont envisageables. Si vous souhaitez entamer une rénovation énergétique de votre maison, vous devez savoir les facteurs qui déterminent le confort thermique de votre logement.
Plan de l'article
Assurez un bon confort thermique du logement avec une rénovation énergétique
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il ne suffit pas de lutter contre les zones froides et la chaleur. Encore faut-il trouver le juste équilibre entre le taux d’humidité et la température ambiante dans chaque pièce. Comme expliqué sur Bat-energie-france.fr, des travaux de rénovation énergétique doivent être réalisés au plus vite.
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Trois points essentiels sont à améliorer si vous souhaitez profiter d’un logement confortable tout au long de l’année. Il s’agit :
- de l’isolation de la maison : envelopper le bâtiment avec un manteau protecteur pour limiter les ponts thermiques,
- du changement de système de chauffage de la maison : installer un système de chauffage performant et adapté,
- de la climatisation : poser un climatiseur dans la maison pour rafraîchir les pièces de la maison et maintenir une température agréable en été.
Si ces éléments sont réunis et qu’ils répondent parfaitement aux normes en vigueur, vous pouvez être sûr que votre maison profitera d’un bon confort thermique.
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Comment évaluer le confort thermique d’une maison ?
Le confort thermique correspond à la sensation de bien-être et de température ambiante éprouvée dans le logement. Il s’agit du confort de vie général que les occupants ressentent dans leur maison. Il peut être mesuré via l’indice PMV (Predicted Mean Vote). Celui-ci indique notamment ce que ressentent les personnes dans un logement, sur une échelle de +3 (très chaud) à -3 (très froid). À zéro, le confort optimal n’est donc ni chaud ni froid.
Cet état d’équilibre thermique repose sur plusieurs paramètres, tels que la température ambiante, la température des parois, le chauffage, les mouvements d’air, les échanges thermiques entre le corps et l’environnement.
La température ambiante
En général, la température recommandée pour une maison est de 19 à 20 °C. C’est plus ou moins la température ambiante de confort. Vous devez donc éviter de dépasser ce chiffre, afin de ne pas surchauffer votre logement. Le revêtement que vous choisissez et le système de chauffage que vous utilisez contribuent à l’obtention de cette température ambiante.
La température des parois
Tout comme la température ambiante, la température des parois a aussi une influence sur ce qu’on ressent à l’intérieur de la maison. Elle peut garantir le confort thermique de l’habitat, selon que la paroi est froide ou non. Si elle est froide, elle risque d’absorber le rayonnement chaud et générer une sensation d’inconfort. Il faut également savoir que le rayonnement solaire direct peut favoriser un certain inconfort en produisant une chaleur excessive.
Pour augmenter la température des parois, une amélioration de l’isolation thermique s’impose. Cette intervention permet indéniablement d’augmenter le confort thermique de l’habitat en éliminant les ponts thermiques. La mise en place d’un double vitrage est aussi envisageable.
En dehors de ces facteurs, d’autres critères importants, comme la vitesse de l’air, l’humidité, le métabolisme, le chauffage, les mouvements d’air et l’habillement jouent aussi un rôle clé dans la régulation du confort thermique.